J'aime les desserts aux fruits.
Ils permettent d'allier la saveur du fruit à la gourmandise du gâteau.
Je n'en mange pas très souvent car je profite toujours des bienfaits du fruit cru (et s'il est fraichement cueilli de l'arbre, c'est juste trop top !!) mais la gourmandise est un défaut que j'entretiens car -tout en étant raisonnable - il faut savoir se faire plaisir !
La mirabelle est un fruit qui est cher à nos amis Lorrains et j'aime ce petit fruit coloré et juste juteux.
Délicieux à manger tel quel, il se conserve parfaitement au sirop (avec un minimum de sucre) ou surgelé ; il peut ainsi se déguster toute l'année.
J'ai utilisé cette recette de clafoutis avec des mirabelles fraîches, mais aussi surgelées ou au sirop (conserves réalisées par des amis) et il ne m'a jamais déçue.
De plus, il est facile à réaliser, goûteux, sans gluten, sans produit laitier.
On peut le réaliser avec des farines à index glycémique moyen pour ne pas faire grimper la glycémie au plafond, donc ne pas prendre du poids avec cet entremets délicieux.
L'idéal, non ?
En ce qui concerne cette question qui anime les débats en fin de repas, il est préférable de conserver les noyaux lors de la préparation des clafoutis (même si, je vous l'accorde, ce n'est pas toujours bien élégant de retirer les noyaux lors de la dégustation).
En effet, garder le noyau des fruits permet de garantir que la pâte ne se détrempe pas. En conservant son noyau, le fruit ne perdra donc pas son jus (qui se mélangerait avec la pâte pour obtenir des couleurs un peu spéciales plus ou moins orangé rouge).
Il va sans dire (mais c'est toujours mieux en le disant) qu'il faudra surveiller les enfants qui en mangeraient (pour éviter qu'ils n'avalent les noyaux).
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