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106 éléments trouvés pour « émotions »
- Quand les mots changent nos pensées
Ils peuvent influencer nos émotions, nos croyances, nos comportements et même notre destin. Le pouvoir des mots sur nos émotions Les mots sont des symboles qui représentent des idées, des concepts parlons ou nous écoutons, nous activons dans notre cerveau des zones liées à la signification et à l’ Les mots peuvent donc déclencher en nous des réactions émotionnelles positives ou négatives, qui vont La réflexologie plantaire nous apporte également d'excellents résultats tant sur la sphère émotionnelle
- Les Fleurs de Bach ou l’épluchage d’un oignon
Elles correspondent chacune à un état émotionnel caractéristique des panels des émotions humaines qui de nos émotions en souffrance, par le pouvoir des bienfaits de la nature. Elles nous offrent notre autonomie et la responsabilité d’« éplucher notre oignon émotionnel », couche De même, les couches de l'oignon qui se superposent sont nos « carapaces », nos maux émotionnels. libérer et ré-harmoniser ces émotions qui nous perturbent.
- Les bienfaits du rire
Continuons ensemble notre réflexion autour des bienfaits du rire. Nous avons vu dans l'article précédent les bienfaits au niveau de notre bien-être mental, moral et relationnel. Voyons ensemble les bienfaits au niveau de notre système immunitaire, respiratoire et vis à vis de la douleur. « Le rire qui provoque un massage du diaphragme et qui améliore la digestion, procure le sommeil » Docteur Rubinstein. Ainsi le rire facilite le passage de l’état de veille à celui de sommeil. De plus, le rire : Renforce le système immunitaire : Le système immunitaire joue un rôle très important dans le maintien d’une bonne santé et la lutte contre les infections, les allergies et de nombreux cancers. Selon le Dr. Lee S. Berk de l’Université de Loma Linda (Californie, USA), le rire contribue à accroître le taux d’anticorps. Les chercheurs ont trouvé, qu’au terme d’une thérapie par le rire, il y a un accroissement d’anticorps (Immunoglobuline A) dans les muqueuses du nez et des voies respiratoires, ces anticorps étant reconnus pour leur capacité protectrice contre les virus, les bactéries et autres micro-organismes. Les effets positifs du rire sur le système immunitaire contribuent également à renforcer la résistance des personnes souffrant d’un cancer. « Le rire est bénéfique pour le système immunitaire par plusieurs mécanismes principaux: 1°/ un afflux de cellules de l'immunité (lymphocytes) au niveau des alvéoles pulmonaires par augmentation de la ventilation, ce qui prévient et guérit les infections. 2°/ Un mécanisme antistress général qui renforce les défenses en retardant l'usure de l'organisme. 3°/ En créant une barrière psychologique face aux agressions de quelque nature qu'elles soient. Cette barrière, qui est avant tout une façon optimiste de voir les choses, prévient la création de mécanismes mortifères, qui, eux-mêmes, sont responsables de baisse des défenses, donc de maladies. » Dr Rubinstein Les effets positifs du rire sur le système immunitaire peuvent contribuer également à renforcer la résistance des personnes souffrant d’un cancer ou de sida. Les statistiques nous disent qu’un cancer est souvent détecté quelques mois (6 à 12) après un traumatisme existentiel chez le patient (deuil, séparation, chômage, perte d’argent…). Pour certains scientifiques, la répression de la capacité d’exprimer son hostilité favoriserait l’éclosion d’un état cancéreux. De telles hypothèses n’ont aucune base expérimentale, d’autant plus que l’origine des cancers reste inconnue, mais il est toutefois intéressant d’en tenir compte. A partir de ces observations, le rire, facteur de libération, de relaxation et d’expulsion, pouvant être vu comme un moyen d’exprimer son agressivité, pourrait vraisemblablement avoir un rôle protecteur contre les états cancéreux. Exercice physique salutaire : Une séance de rire de 20 minutes apporte autant de vitalité et de sensation de bien-être qu’une séance d’aérobic ou de jogging, et cela sans transpirer. Le rire sollicite de nombreux muscles et provoque un massage des organes internes, particulièrement au niveau de l’abdomen. Réduit la tension artérielle et les problèmes cardiaques : Des expériences ont montré une nette diminution de la pression artérielle après 10 minutes d’une séance de rire. Le rire améliore la circulation du sang et l’oxygénation du muscle cardiaque, réduisant ainsi le risque de formation d’un caillot. La respiration intensifiée lors du rire modifie le rythme cardiaque. Le cœur commence par s’accélérer, pour ensuite ralentir (dans une phase de détente dominée par l'influence apaisante des parasympathiques), le rythme cardiaque diminue durablement jusqu'à atteindre une fréquence basse. De plus les artères se relâchent et le calibre des vaisseaux sanguins augmente, diminuant ainsi la pression artérielle. C’est donc une arme efficace dans la prévention des crises cardiaques, utilisée dans de nombreux services de cardiologie d’hôpitaux américains. Le docteur Michael Miller de l'université du Maryland (Nord-Est) affirme qu’une bonne dose quotidienne de rire peut avoir des effets comparables que l'exercice physique pour le système cardiovasculaire en stimulant la circulation sanguine. Dans un premier temps, en accélérant la fréquence cardiaque le rire, de la même façon que le jogging, fortifie le cœur et la circulation sanguine et améliore l'oxygénation du muscle cardiaque, ce qui diminue le risque de formation d'un caillot sanguin. Les bienfaits du rire se poursuivent longtemps après que les gloussements ont cessé. Les muscles sont plus détendus et étant donné que la pression artérielle et la fréquence cardiaque (dans un deuxième temps) descendent sous la normale, le cœur est soumis à un stress moins grand. Atténue la douleur : Le rire provoque la sécrétion d’endorphines dans le corps. Les propriétés antalgiques de ces hormones réduisent immédiatement la douleur. Un excellent témoignage des vertus du rire dans un processus de guérison est le livre « La volonté de guérir » de Norman Cousins, ancien rédacteur en chef du Saturday Review et victime à l’âge de 40 ans d’une forme de rhumatisme incurable et très douloureuse : la spondylarthrite ankylosante. Quand les anti-douleurs ne pouvaient plus l’aider, il s’est tourné vers une thérapie par le rire qui atténuait la douleur et l’a de surcroît complètement guéri. La douleur représente aujourd’hui 60% des motifs de consultations médicales. Pourtant un moyen simple et agréable contribue à lutter contre la douleur : notre rire ! Non pas rire de nos douleurs mais rire pour les combattre : oui c’est possible ! On a déjà tous entendu que pour soigner un enfant qui venait de tomber, il faut le faire rire ! On dit même qu’une augmentation significative de la tolérance à la douleur a été notée jusqu’à 30 minutes après la projection d’un film humoristique. Voyons alors quels mécanismes rentrent en jeu dans ce bienfait incroyable : Le rire agit sur la douleur, par quatre mécanismes : - La douleur est souvent désespérante, parfois même angoissante, et désagréable. C’est pourquoi le rire arrive en nous changeant les idées, et en fixant notre attention sur autre chose à réduire notre perception de la douleur et à anesthésier partiellement la douleur. - La douleur est souvent accompagnée d’une tension musculaire, c'est-à-dire d’une contracture des muscles de la zone blessée. Le rire, par action avec le système parasympathique, réduit cette tension, allant jusqu’à faire disparaître la douleur. - Le rire stimule la production cérébrale de catécholamines (hormone de l’éveil), qui permettent l'augmentation de la production d’endorphines (morphine naturelle). Les endorphines existent dans l’organisme, mais le rire, au même titre qu’un sport, renforce la production d’endorphines. La grande utilité des endorphines dans l’organisme est de diminuer la douleur ; avec le rire, leur taux augmente, et la douleur diminue, puis cesse. D’ailleurs, après un fou rire, on n'a plus autant mal qu’avant le rire. Les catécholamines (adrénaline et noradrénaline) quant à elles, jouent un rôle important dans le processus inflammatoire. En effet, plus leur taux augmente dans l’organisme, plus elles arrivent à lutter contre l’inflammation, qui est parfois responsable de douleurs. Grâce au rire, les douleurs inflammatoires sont éliminées naturellement. Les endorphines ont tous les avantages des substances antalgiques, sans avoir les inconvénients des produits chimiques injectés. - Le rire modifie l’attitude de chacun sur la douleur. En effet, l’importance de la douleur dépend en partie de l’importance qu’on lui accorde, mais aussi de la personnalité, de la culture, de l’environnement. Le rire contribue à redonner la joie de vivre et une attitude positive et optimiste sur la vie, et indirectement la vision de l’individu sur sa douleur. Le rire a un effet caractéristique sur la respiration : l’amplitude du rythme respiratoire et la quantité d’air inspiré/expiré augmentent. Lors du rire, l’inspiration est profonde. De plus, le rire est un phénomène expiratoire intense, c'est-à-dire que lorsque l’on rit, on vide tout l’air contenu dans notre poitrine : ainsi on augmente le volume d’air de réserve. Ces caractéristiques de la respiration lors du rire sont proches de celles du yoga. Savoir respirer est indispensable pour la santé. Lorsque l’on a une bonne éducation respiratoire, on se met à l’abri d’affections courantes. Ainsi lorsque l’on rit on constate différents bienfaits sur la santé : - Le rire nettoie et libère les voies aériennes supérieures, comme le ferait la toux, et favorise entre autres l’élimination des résidus présents dans les poumons. Le volume d’air expulsé est maximal lors du rire, ce qui provoque une désintoxication totale des poumons. - Le rire peut agir comme une prévention ou comme une rééducation pour certaines maladies de type respiratoires. Par exemple, pour les emphysémateux, (l’emphysème est une maladie respiratoire caractérisée par une diminution du volume d’air de réserve, ce qui conduit à l’insuffisance respiratoire), le rire peut être rééducation en augmentant le volume d’air de réserve. - De plus, aussi incroyable que cela puisse paraître, le rire est capable de faire passer une crise d’asthme ! En effet, la crise d’asthme (déterminée par un rétrécissement des bronches) est due à une sympathicotonie, c'est-à-dire à une présence trop importante du système sympathique. Le rire, en deuxième phase, provoque un relâchement de la musculature lisse des bronches grâce au système parasympathique. Aussi, l’individu peut respirer normalement, et faire passer sa crise d’asthme en riant ! "Dans tous les cas d'insuffisance respiratoire et d'emphysème, le rire amène une amélioration." Docteur Tall Schaller.
- Une séance de câlinothérapie ?
peut y en avoir à d'autres moments de l'année, mais c'est un jour particulier pour s'arrêter sur cette notion
- Coup de gueule !
Gestion du stress et des émotions : Utiliser des techniques de relaxation comme la méditation, la respiration
- Bye-bye, le grignotage !
Vous aimez manger lors des repas mais surtout vous ne pouvez vous empêcher de grignoter entre les repas (par ennui, stress, vide, contrariété...). Et à la longue, cela se manifeste entre autres par du surpoids et/ou des petits bourrelets qui prennent place dans votre corps. Pas de panique ! Voici quelques astuces naturelles pour vous aider à calmer ces envies de grignotage et retrouver un équilibre. On écoute son corps Avant de vous ruer vers votre placard, prenez un instant pour vous connecter à vos sensations et ressentis. Posez-vous les bonnes questions : "ai-je réellement faim ?", "suis-je stressé-e et/ou contrarié-e ?", "pourquoi ai-je besoin de me remplir ?" et "de quoi suis-je vide ?", "suis-je fatigué-e ou à la recherche d'un starter ?" On s'hydrate Parfois la sensation de faim est davantage liée par une soif déguisée. Avant de céder au facile grignotage, buvez un grand verre d'eau (pas glacée !). Ajoutez-y une tranche de citron, un fruit, une feuille de menthe, ou un cube de waterdrop , et vous obtiendrez une boisson rafraîchissante, agréable à boire. Vous pouvez également vous préparer un délicieux thé glacé . On adopte une alimentation équilibrée et variée Pour éviter les grignotages réguliers, faites le point sur votre alimentation. Assurez-vous d'avoir des repas équilibrés, riches en nutriments (c'est à dire en bonnes protéines, en fibres, en féculents, de qualité et en quantité suffisante). Un corps en souffrance à cause des régimes restrictifs notamment finit par réclamer ce dont il a besoin, de l'énergie pour fonctionner. On se retrouve alors à grignoter pour compenser le manque; On mange plus de protéines Petites briques pour la construction de notre organisme, les protéines sont indispensables à tout âge de la vie. Mangez-en dès le petit-déjeuner pour ne pas provoquer de pics de glycémie durant la matinée et la journée. N'oubliez pas les légumineuses, ces protéines végétales qui peuvent être combinées avec des céréales complètes pour obtenir tous les acides aminés essentiels. On privilégie les collations saines Car la vie n'est pas linéaire ni simple ou théorique, on a le droit de se faire plaisir et de "craquer" parfois. Avoir des collations saines près de soi peut aider à éviter les grignotages non désirés. Un carré de chocolat ou un fruit avec une poignée d'oléagineux est une bonne idée pour un petit goûter occasionnel. On mange avec conscience Prenez le temps de manger tranquillement, de savourer votre repas, de bien mastiquer chaque bouchée. Ne prenez pas votre repas devant la télé ou l'ordinateur, qui sont des distractions. Manger en conscience dans un contexte apaisant permet à votre organisme de mieux enregistrer les signaux de satiété. On chouchoute son système nerveux Le stress, on connaît tous ! Mais vivre dans un contexte de stress permanent est tellement nuisible pour notre organisme tout entier ! Il n'est pas toujours facile de supprimer le(s) agent(s) stressant(s). Testez plusieurs techniques utilisées en naturopathie pour vous aider à réduire le stress et par conséquent vos envies de grignotage : différentes techniques respiratoires comme la cohérence cardiaque, la méditation, les Fleurs de Bach , la phytothérapie (avec des plantes adaptogènes comme l'ashwagandha), l'aromathérapie (marjolaine, bergamote), la gemmothérapie (bourgeons de figuier ou d'aubépine)... La naturopathie permet d'éviter les compulsions alimentaires grâce à plusieurs techniques qui seront personnalisées en fonction de votre tempérament, vos besoins et votre vie. Si vous êtes concerné-e par ces soucis et/ou par un désir de perdre du poids, prenez rendez-vous et découvrons ensemble ce qui vous correspond le mieux. Ensemble, nous trouverons les solutions naturelles qui vous conviendront le mieux.
- Pourquoi je ne maigris pas ?
Dans différents articles, je vous ai parlé de surpoids, de rééquilibrage alimentaire, de solutions naturopathiques pour perdre du poids. Il est possible que vous fassiez tout cela, que vous n'êtes pas stressé-e, que vous dormiez bien, que vous mangiez (apparemment) équilibré, que vous bougiez (activité physique ou sportive régulière), etc... et pourtant vous ne parvenez pas à perdre du poids. Je vous transmets ici quelques conseils pratiques supplémentaires, à mettre en place, pour perdre ces kilos ou bourrelets, et vous sentir mieux dans votre corps et dans votre tête : 1. Bannir les mauvais aliments et les calories vides Là on parle de tout ce qui est aliments transformés, plats préparés, trop salés, sucrés ou gras, raffinés (pâtes, farine blanche, sucre blanc), fritures, aliments sous-vide, produits laitiers… Pensez à surveiller les étiquettes et repérer les sucres cachés. Mangez frais, bio, de qualité ; épluchez et cuisinez tous les jours. Pensez nutrition plutôt qu'alimentation ! Ce qui nourrit chaque cellule de votre corps plutôt que ce qui peut être a priori bon pour votre palais. Mais aussi mangez en prenant le temps de profiter de chaque repas. 2. Évitez les céréales et les protéines animales au même repas Exemples : pain + fromage, riz + poisson, viande + pâtes... Les protéines animales et les glucides ne se digèrent pas avec le même milieu d’acidité dans l’estomac, il va privilégier la digestion de la viande, plus longue et plus difficile à assimiler. Les sucres lents ne seront donc pas correctement absorbés et le corps en perd tous les bénéfices. 3. Mangez les protéines animales le matin et/ou le midi Le soir, l’énergie du corps baisse et se prépare pour la nuit nuit, alors pas la peine de le surcharger ! Manger un repas copieux et lourd, demande au corps de maintenir ses fonctions digestives à un niveau élevé (minimum 4h de travail pour la protéine animale) et nous empêche de nous reposer correctement. En plus, ton corps va emmagasiner des calories inutilement car elles ne seront pas utilisées. 4. Jamais de féculents rapides ou transformés le soir Comme vous ne ferez plus d'efforts physiques pendant la nuit, votre corps n'a pas besoin de glucides. Il va donc les stocker automatiquement sous forme de graisse. Ce qui n'est pas souhaitable. Choisissez des légumes avec des protéines végétales comme les légumineuses, le tofu, le seitan, le tempeh... Ou mangez de petites quantités de riz, quinoa, sarrasin cuit, millet. Vous pouvez, suivant les recommandations de votre naturopathe et de votre médecin, faire un jeûne intermittent en supprimant le dîner ou en hiver, en prenant un petit bouillon maison ou une soupe miso ! L'avantage c'est également que vous dormirez mieux et vous récupérerez de la forme physique, car l'organisme ne travaillera pas à effectuer une digestion pendant la nuit. 5. Évitez de grignoter entre les repas Vous le savez, c'est certain ! Mais il n'est pas toujours facile de s'y tenir. Il est nécessaire de garder une pause de 4h entre chaque repas pour permettre à l'organisme de terminer correctement le travail digestif du précédent repas. Les aliments rajoutés en cours de digestion ne peuvent en fait pas être correctement digérés. C'est la raison pour laquelle lors des consultations, j'explique à mes consultants l'importance de chaque repas, non seulement par leur composition mais aussi par rapport au moment de la prise de l'aliment et les associations des divers aliments qui composent l'assiette. 6. Préférez un plat unique A choisir, il est préférable de ne choisir qu'un seul plat par repas et surtout éviter la multiplication : apéro, entrée, plat, fromage, dessert, digestif… 7. Suivez le principe 80% - 20% Mangez doit être et rester un plaisir ! La privation entraîne la frustration ; la frustration crée le craquage et le craquage produit la culpabilisation ! Je dis NON ! Si vous vous privez à longueur de journée, vous serez en plus vite démotivé-e. Accordez-vous des petits moments de plaisir. Profitez de repas en famille ou avec les amis. Mangez ce qui vous fait envie et ce jusqu'à 3 repas par semaine (midi et soir confondus bien sûr !). 8. Apprenez à cuisiner des plats savoureux faits maison qui ont du goût ! Durant les 80 % du temps restant, vous pouvez très bien vous faire plaisir en mangeant des préparations faites à la maison, belles pour les yeux, et bonnes au palet ! Et bien sûr excellentes pour votre santé. Manger doit être un plaisir au quotidien pour chacun des sens ! Ce n'est pas réservé aux temps conviviaux en famille ou entre amis. On utilise donc les épices, les herbes aromatiques. Avec tact et parcimonie. Il faut que le repas ait du goût mais que ça n'arrache pas les papilles non plus ! Pour vous convaincre de les utiliser, je rajoute que ce sont d'excellents brûleurs de graisse ! C'est top, non ? A la maison, on raffole des herbes aromatiques comme le persil, l'origan, le romarin, la ciboulette, le thym, l'estragon, le basilic, etc... et les épices telles que la cannelle (pour les plats sucrés mais pas que), le curry, curcuma, poivre, paprika, cumin, gingembre, muscade... On aime aussi utiliser : ail, oignons, échalotes, dans tous les plats ! 9. Faites un bilan sanguin et consultez un-e naturopathe. Il est important de vérifier régulièrement vos dosages sanguins, les classiques, mais également les marqueurs de la thyroïde, l'homocystéine etc... Demandez à votre médecin traitant de vous la prescrire (pour être remboursé-e) et prenez rendez-vous avec un-e naturopathe. Avec les signes cliniques que vous pourrez lui décrire et votre hygiène de vie, il sera à même de déterminer si vous avez des carences particulières et/ou des hypofonctionnements. Dans ce cas, il pourra vous transmettre des conseils adaptés. Une hypothyroïdie peut être la cause de ce blocage dans la perte de poids. On n'y pense vraiment pas assez mais les intolérances alimentaires sont très souvent à l'origine de nombreux troubles, maladies, douleurs et prise de poids ! Je l'ai découvert à mes dépens et ai bien approfondi le sujet pour réaliser que c'est l'une des bases de très nombreux soucis de santé ! Je vous en reparlerai plus tard. 10. Oubliez les régimes ! Les régimes ne sont pas la solution et sont souvent voués à l'échec. Chaque personne est unique et a besoin d'une approche personnalisée pour une perte de poids saine et durable. Comprendre les causes profondes de la prise de poids et se recentrer sur les changements de mode de vie qui ont le plus d'impact sont des étapes clefs. Voilà quelques pistes pour réfléchir à votre perte de poids. Comme lors de mes consultations, je vous conseille de ne pas tout faire en même temps. C'est trop compliqué à tenir et à vous y retrouver ! Commencez par choisir deux ou trois conseils et mettez-les en place. Progressivement, vous allez réaliser ce qui se passe dans votre organisme et dans votre quotidien. Vous constaterez certainement un regain d'énergie, un mieux-être. Continuez et choisissez un nouveau conseil à mettre en place ! Comme avec les légos des enfants qu'ils empilent pour réaliser des constructions, petit à petit, vous rajouterez de nouvelles habitudes pour construire durablement votre nouvelle vie vers un poids d'équilibre.
- 7 conseils pour être de meilleur humeur le matin
du livre Bien manger pour ne plus déprimer, le contenu de nos assiettes pourrait bien impacter nos émotions immunitaire et ainsi perturber la synthétisation des neurotransmetteurs responsables du contrôle de nos émotions Ce temps calme où l’on ferme les yeux vise à contempler ses émotions, même les plus négatives, à les On a déjà évoqué cette notion du journal de gratitude. trop difficile ou que l'on n'est pas motivé-e pour le faire, une autre méthode a fait ses preuves, mentionne
- Quid des addictions ?
La notion d’addiction est fortement liée à celle du plaisir mais rapidement les comportements addictifs substance tant convoitée n’apparaisse plus comme tellement désirable, mais également travailler sur les émotions procure, tant au niveau du manque (bien souvent, on devient addict pour combler un vide : existentiel, émotionnel …) qu’au niveau des émotions recherchées, ressenties… ou émotions relatives à une situation traumatisante
- Les métiers de la Naturopathie
Lorsque j’interviens dans un programme d’hygiène vitale, pour la gestion des émotions, pour une séance spécialités : certains sont spécialistes de la bromatologie (alimentation), de la gestion du stress et des émotions
- Naturopathie et Détoxification : comment nettoyer le corps naturellement
encore le trio gagnant alimentation saine, gestion des émotions & activité physique ! Et nos émotions dans tout ça ? Il faudra penser à se désintoxiquer de nos émotions négatives, de nos pensées limitantes, de nos obsessions Détoxiquer nos pensées et faire le point sur nos émotions est bien souvent mis à la trappe et pourtant la personne, et accompagnée de plusieurs techniques naturopathiques aussi bien hygiéno-diététiques qu'émotionnels
- Rigolothérapie
À quand remonte vos derniers fous rire ? Sur une échelle de 1 à 10 où se situe votre niveau d’humour et de plaisir au travail ou à la maison ? En 1939 les gens riaient en moyenne 19 minutes par jour. Ces années-ci on rit moins de 4 minutes par jour, et vous, vous en êtes à combien ? Je vous invite à vous demander ceci : -Est-ce que je souris spontanément aux gens tous les jours ? -Y a-t-il de la passion dans ma vie pour ce que je fais et comment puis-je en ajouter ? -Quand une situation plus difficile se présente, est-ce que je pense à une réaction favorisant l’humour ou encore, est-ce que j’y cherche un aspect positif en me demandant par exemple, qu’est-ce que cette situation m’apprend sur moi ? Ou bien je laisse le stress m’envahir ou pire, j’ai la mauvaise habitude de transférer la responsabilité sur les autres ? -Est-ce que je fais les choses sérieusement sans trop me prendre au sérieux ? -Est-ce que je prends conscience des mots que j’utilise et des pensées que j’entretiens ? -Est-ce que j’utilise des expressions à caractère négatif comme : ça vaut la peine, ça me rend malade, ça me pèse sur le dos ou je préfère des mots plus encourageants tels, c’est magnifique, je fais de mon mieux, je me fais confiance, à tous les jours à tous points de vue je vais de mieux en mieux… Le rire, c'est des vacances instantanées ! La rigolothérapie Si tu as mal, danse, chante, ris, mais fais quelque chose. Pendant une semaine oblige-toi à sourire, rire, être gai à tout instant. La semaine suivante ne fais rien de tout ça et tu verras la différence. Connais-tu autre chose de mieux que l’amour, l’humour, le rire et une bonne adresse de restaurant ? Dépose tes valises de désespoir dans une consigne et jette la clé. Si tu veux donner un sens à ta vie, mets-y un peu de folie. Ne fais jamais confiance à quelqu’un de sérieux. Le ridicule tue ceux ou celles qui le prononcent. Quand tu auras quitté cette terre, vaut mieux qu’on se souvienne, de toi en riant que de t’oublier à cause de ta tristesse. Sache que quand tu ris, le cœur se fortifie, le foie s’épanouit, l’estomac à faim, la bile se repose, les poumons s’oxygènent, le cerveau nage dans le bonheur, ta sexualité est au plus haut niveau et ta nuit est pleine de rêves. Antoine ROGANI Auteur de « Quand votre santé passe par le rire » et «Humour en lettres et en chiffres » Je vous partage un schéma récapitulatif des bienfaits du rire. Si vous avez besoin d'accompagnement pour vous aider à retrouver l'envie de rire, de sourire, d'être bien dans votre tête et votre corps, prenez rendez-vous.